Du vent, que du vent, vraiment ?


La pollution sera, à coup sûr :

– Sonore et infrasonore (voir Le Bruit et Les Infrasons),

– Lumineuse : chaque éolienne émet des flashes blancs de jour et rouges de nuit toutes les 2 secondes. Ces flashes sont visibles jusqu’à 20 km, soit une surface éclairée de 1250 km², c’est à dire la moitié du département du Rhône ! Adieu, nos nuits étoilées ! [1]

– Gaz à effet de serre :

NON, L’ÉOLIEN CE N’EST PAS QUE DU VENT, PROPRE ET GRATUIT !

  • Ce sont aussi des centrales de substitution (charbon, gaz, fuel) pour compenser l’intermittence de la fourniture d’énergie par les éoliennes (fonctionnement équivalent à un jour sur quatre ou cinq, en moyenne, soit de l’ordre de 2000h par an),
  • En 2013, l’Allemagne, avec 22.000 éoliennes, a été champion d’Europe de la pollution avec 760 tonnes de CO2 par habitant (346 en France, 6.000 éoliennes). Elle a agrandi la mine de lignite de Garzweiler et a exproprié 42.000 personnes (12 villages). [2] [3]

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Plus il y aura d’éoliennes, plus il faudra de centrales de substitution !

– Terres rares :

  • Les éoliennes à aimants permanents (partie tournante fixée au rotor) contiennent du fer, du bore, du néodyme, du praséodyme et du dysprosium (source BRGM),
  • Ces matériaux se désagrègent dans le temps du fait des températures élevées de fonctionnement des matériaux et se dispersent dans l’environnement.

Ce risque n’est pas examiné lors des études d’impact.

Elle pourrait aussi toucher le sol et donc l’eau…


[1] Pollution lumineuse
[2] Allemagne – Transition énergétique
[3] CO2 Eurostat

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